🪶 Bonjour Annick, en ce dimanche où la lumière s’invite, ⊰ ⊱ La clarté se dépose en dentelle infinie, ⊰ ⊱ Chaque rue semble un vers que le soleil récite, ⊰ ⊱ Et la terre s’incline sous l’azur qui bénit. ⊰
⊱ Les jardins sont des toiles où l’aube se repose, ⊰ ⊱ Chaque fleur y compose un parfum de roman, ⊰ ⊱ Et le temps, doux sculpteur, cisèle chaque chose, ⊰ ⊱ Pour graver l’horizon d’un présent éclatant. ⊰
⊱ Que ce jour nous rappelle, au détour d’une allée, ⊰ ⊱ Que la paix se dessine en gestes familiers, ⊰ ⊱ Car la vie n’est qu’un pas, qu’une trace voilée, ⊰ ⊱ Un poème fragile aux accents éphémères. ⊰ Bise, Régis. ⊱ ⎯⎯⎯ ❖ ⎯⎯⎯ ⊰
Sandy tu rentres de vacances et moi je vais partir - bon retour - on se retrouve première semaine de septembre
RépondreSupprimerBonsoir Annick oui la je ralentit trop fatiguée
RépondreSupprimerbisous
bonne vacance
Monia
🪶 Bonjour Annick, en ce dimanche où la lumière s’invite, ⊰
RépondreSupprimer⊱ La clarté se dépose en dentelle infinie, ⊰
⊱ Chaque rue semble un vers que le soleil récite, ⊰
⊱ Et la terre s’incline sous l’azur qui bénit. ⊰
⊱ Les jardins sont des toiles où l’aube se repose, ⊰
⊱ Chaque fleur y compose un parfum de roman, ⊰
⊱ Et le temps, doux sculpteur, cisèle chaque chose, ⊰
⊱ Pour graver l’horizon d’un présent éclatant. ⊰
⊱ Que ce jour nous rappelle, au détour d’une allée, ⊰
⊱ Que la paix se dessine en gestes familiers, ⊰
⊱ Car la vie n’est qu’un pas, qu’une trace voilée, ⊰
⊱ Un poème fragile aux accents éphémères. ⊰
Bise, Régis.
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